Joujou Turenne était la star de la Foire Internationale du Livre d’Haïti. (…) elle s’est fait remarquer par sa disponibilité, son entregent, la gentillesse et l’esprit de partage qui émane de son être. Pleine d’énergie et d’entrain, elle racontait des histoires. Ses histoires. Et ses contes.(…) Sous les regards des enfants, Joujou Turenne est une femme merveilleuse. À ses côtés, le bonheur et la joie de vivre ont jailli avec profusion. Antoine Johnson, un écolier de 12 ans a remporté le prix de l’imaginaire pour avoir répondu à une question de la conteuse. Il a reçu des exemplaires d’ouvrages de l’auteure. Une façon pour madame Turenne d’honorer son intelligence et sa soif d’apprendre.
Schultz Laurent Junior, Le National, Décembre 2016.
On vacille dans l’univers littéraire et spectaculaire de Joujou entre la flamme de l’imagination, nous flambant du sentiment du dépaysement, de l’échappée dans le rêve, et l’éclat de la lucidité nous renvoyant à une certaine rupture de la commodité de notre esprit à établir la fusion avec la fiction, l’invention.
Jean-Durosier Desrivières in Un vent de Joujou, ça conte ? Paru dans Potomitan, Décembre 2012
« Dans Contes à rebours. Voyages dans un espace nomade, la belle et talentueuse « amie du vent » s’appuie sur la tradition orale pour inventer de petites tranches de vies et de rêves où des héroïnes et héros pas toujours sages sont appelés à se dépasser eux-mêmes…Ces contes livrés avec fantaisie et poésie ont pour thèmes centraux la soif de vengeance, le besoin d’espérance et, surtout, la quête de l’amour…pour le plus grand plaisir …de tous ceux qui croient encore en la magie de l’imaginaire »
Stanley Péan, Le libraire, avril, mai 2010.
« Elle a envahi la place il y a quelques minutes et déjà nous sommes transportés ailleurs… Elle a un magnétisme inégalé!(…) » Chantal Beauregard, Aînés Hébergement
« (…) Don’t expect to sit back and listen – the fushia-draped Turenne insists everyone sings and shouts along, since she maintains screaming is group therapy… » Brenda Suderman Winnipeg Free Press
« … elle nous a tout simplement transporté dans un monde d’émotions et de réalité sur la souffrance et la volonté des peuples à obtenir la Paix. La foule était suspendue à ses lèvres. J’ai vu des personnes se prendre à plein bras et dans cette étreinte fraternelle, ne pouvaient retenir leurs larmes… » Philippe Garin, Visions Voisins
« Elle déteste qu’on lui accorde l’étiquette exotique mais, diable, Joujou Turenne a tout d’une princesse des îles avec ses jolis yeux en amande, son pas dansant et son rire tonitruant (…) Il faut la voir pour la croire. En fait elle raconte comme elle respire. Des textes de son cru,nés de révolte ou de rêves, ou encore inspirés d’anciens contes d’ici et d’ailleurs. » Monelle Saindou, Journal de Montréal
« Ce fut le coup de foudre! (…) Cette conteuse est magicienne. Sa parole
flamboyante, ses yeux pétillants, sa belle tête enrubannée et son rire
contagieux ont vite fait de nous éblouir. Elle cache bien des étoiles dans les
plis de ses voiles multicolores. »
Sonia Anguelova, Autrement dit, mars 2001, Montréal.
assurément aux grands autant qu’aux petits »
Stanley Péan, La Presse, mars 2001, Montréal.
vient près de nous faire prendre la mort en pitié. »
Robert Chartrand, Le Devoir, décembre 2000, Montréal.
Evelyne Morel, Le Dauphiné, mai 2000, Grenoble, France.
« …Quand elle raconte et conte, elle joue avec les constellations …»
Dominik Batraville, Le Nouvelliste, août 1999, P-A-P, Haïti.
« À partir du moment où Joujou Turenne raconte, vous faites vous-même
partie du conte. »
“ …JouJou Turenne … Tonne!
She had mih in a trance! Oh gooode!
She tell she story, she sing she song, she had de audience in de palm of she han’. Man dat lady was boss! ”
Queen Macoomeh, Cultural Explosion, 2003
“ But by far the most outstanding and strikingly different
solo performer (…) In her performance, the feisty
Turenne displays that special “magic” that can readily capture an audience’s
attention. She drew from every element of the storytelling craft (…) everytime
there was «standing room only .”
Joey Ray, The Native Journal, Yukon.